Bonjour Maëva, et merci de participer à notre interview zéro déchet de la semaine. Tu vas pouvoir nous en dire en peu plus sur tes habitudes pour réduire les déchets.
En quelques mots qui es-tu et que fais-tu dans la vie ?
Maëva, j’ai 26 ans. Je vis depuis presque 2 dans le Pays Basque ou je suis chargée de projet évènementiel pour une entreprise d’évènementiel sportif.
Quel a été ton déclic pour te diriger vers une démarche zéro déchet ?
J’ai eu la chance de faire une Service Civique au Siège de Surfrider Foundation Europe, à Biarritz. Ce fut gros choc, plutôt qu’un simple déclic. J’ai pu travailler et apprendre énormément de choses sur des problématiques environnementales, telles que la pollution plastique, le single-use, la qualité des eaux etc…
Quels gestes au quotidien te font réduire le plus ton impact sur l’environnement ?
Le Stop pub sur la boite aux lettres, je fais mes produits d’entretien et d’hygiène moi-même et vélo à la place de la voiture !
Utilises-tu des mouchoirs en tissu ?
J’ai justement passé le pas cet hiver, et sans regret ! J’ai d’ailleurs remarqué que je perdais beaucoup moins mes mouchoirs en tissu, que ceux en papier ! Plutôt bon signe pour la tête en l’air que je suis !
Qu’est-ce qui te motiverait à opter définitivement pour les mouchoirs en tissu ?
Le fait que ce soit pratique, économique et que ça n’irrite pas mon nez au bout de 3 utilisations !
Et alors, prête à sauter le pas avec les mouchoirs en tissu bio ernest&lulu ?
Carrément prête ! C’est éco-responsable et design donc c’est important de soutenir des initiatives (et des Lulu) comme celle-là !
Un conseil ou une astuce pour aider nos lecteurs à réduire eux aussi leurs déchets ?
C’est tout con mais quand je me retrouve à faire des courses au supermarché et que je n’ai pas mes tote-bag, je prends mes fruits et légumes en vrac et je colle les étiquettes des fruits et légumes sur toutes mes manches. Alors oui on me regarde chelou dans le magasin, oui la caissière râle et ne comprend pas pourquoi, mais tant pis ! Tout sauf prendre les sacs en plastique (qui a une durée de vie moyenne de 20 min) ! Et peut-être qu’un jour, je croiserais un autre ‘étiquettoman’ dans le magasin !
Maëva, Anglet, 26 ans
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