Amazonia : le réveil de Florestania est le troisième documentaire de notre sélection du Greenpeace film festival. Pour rappel, ce festival met à disposition 15 films (ou plutôt documentaires) du 13 au 27 janvier 2020. L’objectif est de sensibiliser le public aux problématiques environnementales et de mettre en avant les initiatives positives.
Documentaire – Amazonia : le réveil de Florestania
Réalisé par : Christiane Torloni & Miguel Przewodowski
Année de production : 2019
Pays : Brésil
La note ernest&lulu
Amazonia : le réveil de Florestania – En bref
Documentaire remarquable. Beaucoup d’images du passé, retraçant les manifestations pour les élections directes en 1984 jusqu’à aujourd’hui avec les marches pour le climat. La fin met en avant les manifestations de 2015, année la plus chaude.
On peut aussi le qualifier d’hymne à la nature et au vivant. On découvre beaucoup sur les populations indigènes.
S’il y avait un tribunal de la vie, il considérerait que c’est un crime contre la vie que d’incendier un arbuste ou une plante et à plus forte raison de grand pans de forêt
Amazonia : le réveil de Florestania – Ce que l’on retient
- La brésil pollue en brulant la forêt, c’est absurde !
- Le nom du brésil vient d’un arbre, c’est un peuple de la foret.
- On apprend qui est le général Rondon pour le Brésil et ce qu’il a fait de bien pour les populations indigènes.
- On en revient forcément à un moment sur la consommation (surconsommation) de viande. La mondialisation de l’économie brésilienne a entrainé la mondialisation de l’Amazonie. L’export de l’herbage que les vaches européennes mangent vient d’Amazonie.
En 2003, le Brésil est devenu le premier exportateur mondial de viande. On n’imagine pas ce que l’achat d’un steak coute à la foret Amazonnienne, aux personnes qui l’habitent et aux maltraitances animales qui en découlent !
Le brésil a toujours basé son développement sur la destruction des forêts.
Une question qui reste !
Nous sommes de passage, c’est indéniable. Que laisserons-nous derrière nous ?
Quand on dit préserver, il faut se demander : pour qui ? pourquoi ? Ce sont des questions clés !
Il s’agit d’un combat pour les générations futures.
On parle aussi de Chico Mendes, l’un des symboles de la défense de l’Amazonie et plus généralement de l’environnement et du développement durable.
D’ailleurs, finissons cet article sur l’une de ces citations : « Au début, je pensais que je me battais pour sauver les hévéas ; puis j’ai pensé que je me battais pour sauver la forêt amazonienne. Maintenant, je sais que je me bats pour l’humanité »
Pour retrouver le documentaire Amazonia – Le réveil de Florestania